Villes et transparence

« Villes et transparences » est enracinée dans la contemporanéité de nos villes : les vitrines, les fenêtres, les jeux de miroir et de glaces où nous vivons. Dans ce travail, c’est la surface réflexive qui piège le réel.
Fragmentation, déformation, métamorphose d’un « objet » du réel saisi à travers un autre objet de ce même réel.
« Trans-parence » ou ce qui traverse ce qui paraît, ce qui troue l’apparence.
Millefeuille, la transparence superpose, condense les perceptions et les sensations, introduisant un décalage du regard, un coudage vers l’imaginaire.

Photographies, prise directe. Tirage papier satiné lambda, contre-collé sur dibond et encadré.
(2009-2010)